Jean Marie Abaléa "1925-1942"
 
 


 
30 mars au 8 septembre 1925

Ecole des Mécaniciens-Chauffeurs de Toulon



Le "Jaurreguiberry" ponton-école sert de logement


Lancé à La Seyne sur Mer,le 27 octobre 1893
Mis en service,le 30 janvier 1896
Escadre de la Méditerranée,le 1er octobre 1898
Division spéciale pour escorte des troupes d'Algérie,le 9 août 1914
Expédition aux Dardanelles,le 22 mars1915
Débarquement des dardanelles,le 25 avril 1915
Débarquement de Galipoli,le 25 août 1915
Bombarde et détruit la gare de Kaïffa,31 août 1915
Occupation de Rouad,en Syrie avec la "Jeanne d'Arc",le 1 septembre 1915
Défense de Suez,en 1916
Port-Saïd,en 1918
Désarmé à Toulon,le 21 juin 1920
Ponton école des mécaniciens-chauffeurs à Toulon,de 1922 à 1931
Détruit à Toulon le 8 septembre 1934





Ecole des Mécaniciens-Chauffeurs de Toulon



8 septembre au 5 décembre 1925
2 ème Dépot de Brest


5 décembre 1925 au 1er mai 1926 :






Croiseur "Jules Ferry"

Lancé à Lorient en octobre 1901
Mis en service,en août 1903
Désarmé,le 19 janvier 1927
Vendu pour démolition,à Toulon,en 1928



2ème division légère de la Méditérannée "en réserve à Bizerte"




1er mai au 9 novembre 1926
2 ème Dépot de Brest




9 novembre 1926 au 1er janvier 1929





Torpilleur "Tempete"

Lancé à Nantes le 21 février 1925
Mis en service,en décembre 1926
Combats de Casablanca,8 novembre 1942
Patrouille en Océan Atlantique et Méditerannée,en 1942 et 1943
Débarquement d'un bataillon de tiraiileurs Marocains à Ajaccio,les 15 et 16 septembre 1943
Raids sur Ajaccio ,en septembre 1943
Escortes de convois vers la Corse,en 1944
Débarquement de Provence,en août 1944
Combats et appuis au feu avec la Flank force,de janvier à mai 1945
Désarmé à Toulon le 17 février 1950




"Mission en Atlantique en 1926"
Casablanca du 24 au 27 novembre
Santa Cruz de Ténérife du 29 novembre au 1er décembre
Dakar du 3 au 5 décembre
Saint Vincent du cap Vert le 6 décembre
Agadir le 14 décembre
Casablanca le 18 décembre
Cadix du 19 au 21 décembre
Retour sur Toulon le 22 décembre
Raliement à l'Escadre de la Méditerannée



Coup de roulis en pleine tempête




"1927-1928 "
Corse,Algérie ,Tunisie et Autres Pays de la Méditerannée

"3 juillet 1928"
Revue Navale au Havre













1er janvier au 22 mars 1929
2 ème Dépot de Brest


Du 22 mars 1929 au 19 aout 1931



Croiseur "Tourville"

Lancé à Lorient,le 24 aout 1926
Mis en service,le 12 mars 1929
Immobilisé à Alexandrie,par lesBritanniques,en 1940
Rejoint les Forces Françaises Libres,le 30 mai 1943
Patrouilles en Atlantiques,en 1943 et 1944
Participe aux Opérations d'Indochine de 1945 à 1947
Désarmé à Brest,le 8 mars 1962
Vendu pour démolition,N°coque:312




De avril 1929 à janvier 1930
Campagne dans l' Océan Pacifique avec escale à Tahiti
Ou ses 3 hydravions embarqués survolent les Iles Polynésiennes


1930 et 1931
Il sert de navire-école pour les midship




Exercice de tir sur le Tourville en fevrier 1931 au large de Dakar









19 aout au 1er octobre 1931

2 ème Dépot de Brest




1 octobre 1930 au 1er avril 1932

Ecole des Mécaniciens-Chauffeurs de Toulon




Accepté au Cadre de Maistrance le 6 juillet 1931

Obtention du Brevet Supérieur le 1er avril 1932




1er avril 1932 au 10 mars 1936





Contre-Torpilleur "L'Epervier"

Lancé à Lorient,le 14 aout 1931
Mis en service,le 18 mai 1934:X 112
Coulé par le HMS Aurora devant Oran le 9 novembre 1942
Renfloué à Mers el Kébir,en 1943
Comdamné,le 16 octobre 1946
Démoli à Oran



Lançé le 14 aout 1931,il subit des mises au point jusqu'en 1934;Le 15 décembre 1932 ,il talonne les roches de la Tourelle des Errants dans la passe de Lorient.Mars 1932 ,nouvelle panne de turbine ,il subit des dommages aux hélices.Novembre 1933,Les retards accumulés par la préparation du navire sont au coeur d'une polémique entre le ministère et les arsenaux .Le 16 mai 1934 "définitivement apparaillés" il effectue un dernier essai en baie de Quiberon et mouille sous Houat.Le lendemain ,il effectue une école de feu sur l'ilot de Men Du.Vers 20 heures le contre torpilleur est au mouillage sous Penfret.Le lendemain,samedi 18 mai,il rallie Brest définitivement.Le 6 novembre 1934 le capitaine de frégate Missoff prend le 1er commandement à la mer.Il intègre la 6ème escadre légère de l'Atlantique et est basé à Lorient.













10 mars au 16 juin 1936
2 ème Dépot de Brest



16 juin 1935 au 1er juillet 1936




Cuirassé " Dunkerque"





Lancé à Brest le 2 octobre 1935
Mis en service à Brest le 1er mai 1937

Combats contre les Britanniques et échoué à Mers el Kébir "210 morts",le 3 juillet 1940
Renfloué,le 8 août 1940,il rejoint Toulon,le 16 février 1942
Sabordé à Toulon au Bassin Vauban Sud Ouest,le 27 novembre 1942
En 1944,il est de nouveau bombardé par les Américains


Condamné le 15 septembre 1955,il devient le N°coque:56
Démantelé en 1958 à Toulon





"Dunkerque et Montcalm"




Jean-Marie participe à la préparation du navire qui est lançé en Octobre 1935,
armé pour essais le 1er février 1936 et mis en service en mai 1937
Le Commandant est le Capitaine de Vaisseau Fenard








1er juillet au 17 aout 1936



2 ème Dépot de Brest






17 août 1936 au 10 mai 1941

" Lorient jusqu'au 31 décembre 1936? puis Brest ensuite"




Croiseur " Georges Leygues"

Lancé à Saint Nazaire le 24 mars 1936
Mis en service le 4 décembre 1937
Quitte Toulon pour Dakar,le 9 septembre 1940
Combats de Dakar,septembre 1940
Rejoint les Forces Françaises Libres,le 23 novembre 1942
Combats contre les Navires Allemands " 90 prisonniers",janvier 1943
Refondu à Phidalphie " USA",de février à novembre 1943
Patrouilles en Atlantique de novembre 1943 à avril 1944
Rejoint Scapa flow, le 14 avril 1944
Débarquement de Normandie,le 6 juin 1944
Débarquement de Provence,en août 1944
Bombardement de Porto Maurizio,le 15 janvier 1945
Opérations en Indochine avec le Montcalm,de 1954 à 1959
Désarmé à Toulon le 17 novembre 1959
Vendu pour démolition à Toulon,en 1961,N°coque:188



-1937-

22 avril
Quitte Saint Nazaire
23 avril 
Arrive à Brest "Intègre la 4ème D.C. avec Le Montcalm et le Gloire"
1er décembre
Quitte Brest
4 au 9 décembre
Alger
14 au 16 décembre
 Port Saïd
20 au 22 décembre
Djibouti
28 décembre 1937 au 6 janvier 1938

-1938-

Colombo
7 au 10 janvier 1938
Singapour
12 janvier 1938
Saïgon
La 4ème D.C. rejoint le Lamotte Picquet
"Manoeuvre en eaux Indochinoises".
2 février 
Départ de Saïgon
5 au 9 février
Batavia
14 au 17 février
Colombo
23 au 25 février
Ile Maurice
27 février
La Réunion
1er mars au 5 mars 1938
Diego Suarez
5 au 11 mars
Nossi Bé
12 mars
Les Comores
14 au 18 mars
Monbassa
23 au 25 mars
Djibouti
28 au 31 mars
Suez
31 mars
Ismaila
1er avril 
Rejoint la Méditerrannée
4 au 8 avril
Bizerte
14 avril
Retour à Brest
19 avril au 15 juin
Carénage
Juin 1938
La 4ème D.C. rejoint l'Escadre de l'Atlantique





-1939-

8 février 1939

Colision avec le Contre Torpilleur "Le Bison"en rade de Brest au cours d'exercice de nuit,bilan:18 morts


12 juillet 1939
Il mouille avec la 4ème Escadre de l'Atlantique à New York,à l'occasion de l'exposition internationale.
Au début de la seconde guerre mondiale
Il sert dans la "force de raid"qui patrouille en Atlantique pour contrer les raids des navires Allemands forçant le blocus,puis prévenir les menaces Italiennes,le Georges Leygues et d'autres navires de guerre Français sont envoyés à Mers El Kébir en Algérie

Septembre 1939
Il rejoint l'Escadre Légère


3 septembre 1939
Il intègre la Force de Raid,avec les contre torpilleurs du type "Le Malin" et ceux du  type"Volta et Mogador"
Cette escadre rapide"30 noeuds" n'avait alors aucun équivalent dans le monde.


18 juin 1940 
A la signature de l'armistice,il rejoint Toulon

 3 juillet 1940

Il évite la destruction lors de l'attaque de Mers el Kébir par les Britanniques et rejoint Toulon.



9 septembre 1940
Il quitte le port Varois avc les croiseurs " Gloire"et "Montcalm" et passe Gibraltar sans être inquiété
(Ce qui vaudra à l'amiral Norh ;commandant la place navale Britannique d'être relevé de ses fonctions)
La flottille s'arrête à Casablanca pour faire le plein et continue jusqu'à Dakar.


14 septembre 1940




Arrivée à dakar

18 septembre 1940
Départ de Dakar en direction de Libreville au Gabon mais est bloquée par des navires britanniques dont le H.M.S. Austalia . Le Georges Leygues accompagné du Montcalm retourne alors vers Dakar.Ils aideront à la défense du port contre l'attaque des Britanniques et des Forces Françaises Libres pour prendre la ville .Le Georges Leygues touche 2 fois le H.M.S. Australia et évite les attaques par torpilles de l'aéro-navale Britannique.




23-24-25 septembre 1940

A 5 h, le sous-marin Bévéziers sort de son bassin et appareille afin de prendre position à 10 milles dans le sud de Gorée. Un quart d'heure plus tard le contre torpilleur Fantasque, qui était indisponible depuis le 21 suite à une avarie, ainsi que le torpilleur Hardi sortent du port et rallient l'escadre de l'amiral Lacroix. Le sous-marin Ajax, qui était en mer depuis la veille, plonge à 5 h 40.
Vers 7 h, 3 à 4 monoplans de type SKUA tentent d'attaquer le Richelieu. La DCA des navires réussit à les repousser. Une bombe tombe malgré tout à faible distance entre le Richelieu et le croiseur Georges Leygues.
A 8 h, le sous-marin Ajax aperçoit au périscope 3 torpilleurs à 800 mètres et les 2 cuirassés Barham et Résolution. En essayant d'attaquer les cuirassés celui ci est repéré. Les cuirassés se dérobent et il est pris en chasse par les torpilleurs. Alors qu'il atteint 25 mètres de profondeur, 3 grenades du Fortune provoquent de graves avaries qui précipitent l'Ajax sur le fond. Le sous-marin n'a plus aucun moyen de combattre ni de se mouvoir. En effet, la moitié de ses accumulateurs sont détruits. Après ce constat, le commandant donne l'ordre de remonter. N'ayant pas réussit à lancer ses diesels, l'ordre d'évacuation est donné. L'équipage est récupéré par le Fortune. L'Ajax est coulé à 10 h 15.
L'aviation britannique ne renonce pas et vers 9 h 10 une vague de six swordfishs tente à nouveau d'attaquer le Richelieu avec des bombes de 250 livres. Les britanniques se scindent en deux groupes, le premier continue son attaque malgré un intense barrage de DCA. Leurs bombes tombent à moins de vingt mètres et détruisent des canalisations à mazout. Le second groupe de swordfish largue ses bombes au moment où il est rejoint par des chasseurs français. Durant cette attaque 4 des 6 swordfishs sont abattus
. 5 aviateurs britanniques sont capturés.



En ce début de matinée, la batterie côtière du cap Manuel est également visée par les bombardements, mais malgré son toit en toile, elle ne subit que très peu de dégâts.
A 9 h 30, les cuirassés Barham et Resolution ouvrent le feu au 380 mm sur le Richelieu et le cap Manuel à 14000 mètres.
Au même moment, le torpilleur Hardi et les contres torpilleurs reçoivent l'ordre de tendre un rideau de fumée pour dissimuler les croiseurs qui évoluent en zigzag à 25 noeuds.
A 9 h 40 l'ordre d'ouvrir le feu est donné par l'amiral. La tourelle II de 380 mm du Richelieu tire sur le Barham et tombe en avarie juste après. Mais heureusement pour le cuirassé français, les batteries côtières et les croiseurs prennent pour cible les deux cuirassés britanniques.
A 10 h, la tourelle de 152 mm du richelieu tombe également en avarie. Tous les canons du navire sont muets. Un quart d'heure plus tard, le torpilleur Hardi est mis sous les ordres du commandant Marzin par l'amiral Lacroix afin qu'il protège le Richelieu par des émissions de fumée en cas de nouvelle attaque des cuirassés britanniques.
Vers 10 h50, les deux navires anglais prennent, maintenant pour cible les croiseurs et les contres torpilleurs qui évoluent a l'intérieur du filet par-torpille. La puissance des moteurs ainsi que la manoeuvrabilité des navires français rend difficile le réglage des tirs britanniques qui malgré tout les encadrent plusieurs fois. Mais le combat est quelque peu inégal, puisque les croiseurs et les contres torpilleurs français ne peuvent répliquer qu'avec respectivement du 152 mm et du 138mm aux coups de 380 mm.

A bord du Richelieu, les spécialistes d'artillerie navale travaillent sur les pièces de gros et moyen calibre. A midi les tourelles de 380 et 152 mm sont à nouveau prêtes à faire feu.
C'est à ce moment que le Richelieu aperçoit un point noir sur l'eau à tribord arrière dans la direction où la D.C.A. du cuirassé a abattu un avion en matinée. C'est une petite embarcation en caoutchouc. Le commandant Marzin donne l'ordre au Hardi d'aller récupérer les rescapés.
Vers 12h30, le Hardi est encadré par des gerbes de 203 alors qu'il hisse à son bord un aviateur anglais blessé. Il met cap, à toute vitesse, sur l'entrée du port.
Enfin vers 13h30,les navires Anglais disparaissent derriere la pointe de Dakar et le feu cesse.

A 15h30, le malin donne l'alerte. 8 swordfish de l'Ark Royal, qui volaient haut, ont piqué moteurs réduits. Ils sont accueillis par la D.C.A des croiseurs Montcalm et Georges Leygues. Le Fantasque, le Malin, le Hardi, l'Air France IV, la Gazelle ainsi que le Commandant Riviére ouvrent également le feu. Ce mur de D.C.A gène fortement les avions anglais, ce qui désorganise leur attaque. Deux d'entre eux sont abattus, quatre se débarrassent rapidement de leurs torpilles. Par contre les deux derniers sont en palier au ras de l'eau et lancent leurs torpilles sur le Montcalm et le Georges Leygues. Cette attaque a complètement surpris le Georges Leygues, le croiseur est stoppé. Le commandant ordonne "37 noeuds à gauche toute". Cette manoeuvre, qui demande quelques heures, est exécuté en un temps record. Le croiseur réussit inextremiste à éviter les torpilles. Le Montcalm en fait de même.
Pour les Anglais cette fin de journée n'est pas concluante. Aucun de leur tir n'a atteint son objectif. Par contre le pont du Résolution a été plusieurs fois balayé par des éclats d'obus et le Barham a été atteint quatre fois sans que les dégâts ne soient importants. Du coté Français, on a à déplorer la perte de l'Ajax et le Malin a été confronté à une fuite de vapeur, d'une de ses chaudières, dû à des chocs causés par des bombardements proches. Tout a été remis en ordre dans l'aprés midi. Quant au cuirassé Richelieu, le commandant Marzin décide d'armer la tourelle I de 380 en plus de la tourelle II qui a 3 des 4 canons inutilisables. En effet, le cuirassé a quitté Brest en Juin 1940 sans avoir la totalité de son artillerie de terminée. Seule la tourelle II de 380 et 2 tourelles de 152 sont prêtes à combattre. Dans la nuit, grâce au travail des canonniers, des armuriers et des ouvriers, la tourelle I est mise au point.
En soirée les navires prennent leurs postes de mouillage pour la nuit. Ci ce n'est le Hardi qui s'escrime à couler le Tacoma. En effet, ce cargo chargé d'huile a pris feu aprés avoir été atteint par un obus anglais. Dans l'aprés midi le remorqueur Buffle réussit à le sortir du port mais l'aussière casse et le cargo commence à dériver. Ses futs surchauffés explosent dans le ciel et il est impossible de le reprendre en remorque. En dérivant le Tacoma menace d'aborder d'autres corgos qui se trouvent au mouillage. En début de soirée l'ordre est donné au Hardi de le couler. Aprés quelques coups de canon Le Tacoma s'enfonce un peu mais refuse de couler. Le courant arrange les choses puisque le cargo s'échoue au nord de l'île de Gorée par petits fonds. La nuit va être éclairée par deux épaves, celle du Tacoma et celle de l'Audacieux qui continuent de brûler depuis le 23.
Redoutant une attaque par vedettes, les avisos patrouillent le long des filets. De plus, la Gazelle et la Surprise recoivent l'ordre de faire une passe avec leurs dragues à la recherche de mines magnétiques du côté de Gorée. Mais, on ne trouve que des torpilles n'ayant pas explosé.
Toujours dans la soirée, le Général de Gaulle se rend sur le Barham. Il convient avec l'amiral Cunningham et le général Irwin d'arrêter le bombardement de Dakar au vu de la surprenante résistance des troupes fidéles au maréchal Pétain. Mais dans la nuit Churchill envoie un message à la flotte anglaise leur ordonnant de poursuivre le combat.

Le lendemain ,la ténacité Britannique continua .Les navires de la force M voulurent de nouveau s'approcher afin de poursuivre leur oeuvre de destruction,mais cette fois ,ils eurent affaire à forte partie car,dans la nuit plusieurs batiments vichystes avaient pu se poster en embuscade sur le chemin de leurs mises en place et leur infliger des dégats sérieux.

C'en était trop.
DE Gaulle écrit:
"L'Amiral Cunningham décida d'arrêter les frais.Je ne pouvais que m'en accomoder et nous mîmes le cap sur Freetown"

Ces terribles journées fraticides valurent au "Georges Leygues" et à chacun de ses marins,
La Croix de Guerre "Etoile sur Argent"



  10 Octobre
Rejoint Brest
 20 octobre au 23 décembre
Exercices et mouillage devant Quiberon


-1941-

16 janvier 1941
La 4 ème D.C. rejoint la 2ème D.C.,la 2ème D.C.T.,la 8ème D.C.T.et la 10 ème D.C.T.

18 janvier 
Les 6 Croiseurs et les 6 Contre Torpilleurs appareillent pour exercice


25 février
L'Escadre rejoint Dakar

12 avril au 2 mai
Carénage







10 mai au 16 juin 1941

5ème Dépot de Toulon





"Un passage par Lourdes"




16 juin 1941 au 6 Avril 1942



Croiseur "Algérie"

Lancé le 2 mai 1932 à Brest
Mis en service,le 5 septembre 1934
Affecté à la 1ère division,3ème escadre de Croiseurs,le 27 août 1939





Basé à dakar,du 14 octobre au 24 novembre 1939
Arraisonne le cargo Allemand"Santa Fé",le 25 octobre 1939
Transporte l'or de la banque de France de Toulon à Hallifax,en mars 1940
Combats contre les Italiens au cap Vado,en juin 1940
Sabordé aux appontements de Milhaud à Toulon,le 27 novembre 1942
Renfloué puis démoli le 19 août 1943,N° coque:Q 54





Il est en travaux lors de l'affaire de Syrie qui commence le 8 juin et qui cause la mise à six heures d'appareillage des FHM. Le croiseur fait ses essais au point fixe puis en route libre le 18 juin. Il va ensuite aux Salins jusqu'au lendemain avec le Kersaint et en partie avec le Verdun. Le 15 juillet, avec la fin des combats en Syrie, les FHM repassent à 72h d'appareillage sauf un groupe gardé à six heures.

Les sorties suivantes aux Salins ont lieu du 15 au 19 juillet, du 4 au 9 août, du 8 au 13 septembre puis du 21 au 24 octobre. Du 14 au 19 novembre, il est à Marseille avec le Colbert, le Gerfaut et le Verdun. Le croiseur ne sort pas en décembre, les tubes surchauffeurs des quatre chaudières de 885 mètres cubes sont en mauvais état et il est proposé de les retuber.

L'activité navale de l'Algérie est encore plus réduite en 1942 avec une sortie vers les Salins du 6 au 13 février et une autre le 30 avril. Le même jour, il entre en grand carénage jusqu'au 25 juillet. Les chaudières de 885 mètres cubes sont retubées et la DCA est renforcée.







6 avril au 6 juillet 1942


5ème Dépot de Toulon















Rayé des controles de l'Activité le 7 juillet 1942
Admis à la retraite et se retire à Pont-Jégu en Cléder




 
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